mercredi 24 novembre 2010

Restes de festival

Ca y est, c'est fini. Hier était le dernier jour du festival de Komaba, snif. C'était vraiment au delà de mes espérances. Au départ, j'avais une image plutôt négative : pas trop envie d'y aller, parce que ça crie dans tous les sens et qu'il y a trop de monde, mais je me sentais un peu obligé, parce que c'est mon université et que c'est quand même un gros évènement.

Finalement, j'y suis devenu complètement accro à leur festival. Je n'ai pas participé à l'animation comme je l'avais fait à Doshisha ( je commence à me faire un peu vieux pour ces conneries, uhuh), mais par contre j'ai fait pratiquement tout le tour des bâtiments pour voir ce qu'il s'y passait. Pendant le festival, presque chaque club de l'université utilise une salle de classe pour y présenter ses activités. D'habitude les clubs fonctionnent de manière un peu sectaire; leurs membres restent tout le temps entre eux, et ils ne communiquent pas beaucoup sur ce qu'ils font. Mais ici encore, la période du festival est un peu particulière: les membres des clubs sont tous animés par l'envie de transmettre leur passion. Et c'est très intéressant de discuter avec eux, on apprend vraiment beaucoup, beaucoup de choses, sur des sujets dont on ne soupçonnait parfois même pas l'intérêt...

Ce qui m'a le plus impressionné au cours de ce festival : le gymnase de l'université transformé en un planétarium par le club astronomie. Ils ont tout fait de A à Z, de manière complètement artisanale, mais ils ont quand même réussi à recréer un ciel étoilé aussi envoûtant que celui de n'importe quel musée des sciences. J'étais vraiment sur le cul, au sens propre comme au figuré ( il n y avait pas de siège à l'intérieur du planétarium).

Je pourrais discuter encore longuement de ce festival. Il y a sûrement encore matière à alimenter le blog pendant au moins une dizaine de jours. Mais je vais vous montrer ici quelques dernières photos et je m'arrêterai là pour le festival de Komaba. Parce que ça serait bien si la vie pouvait n'être qu'un grand festival, mais malheureusement les choses ne sont pas faites ainsi...









1 commentaire:

  1. Il est bien dommage que ces journées festives n'existent pas dans nos fac françaises.
    Ici dés la rentrée scolaire, c'est toujours l'éternelle polémique avec leur débordement sur les journées d'intégration.

    Et bravo pour le "LégoKomaba"

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